
Les projets et les rêves se profilent à l'horizon. J'avance toujours autant que je recule, le tout étant de ne jamais faire du sur place. Peu à peu je reprends le rhytme, 6h30, le bus, le lever du soleil, le train, les gens, l'école. 3 millions de flocons. J'écoute Grizzly Bear et la neige s'écraser sous mes pas. Je dessine beaucoup, partout, n'importe quoi. Je deviens social aussi. Note que je fête des anniversaires, que je vais à des fêtes, et dormir chez des gens où je m'ennuie mortellement. Si on m'avait dit plutôt qu'il suffisait...
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